Le studio de design Studio Drift basé à Amsterdam a créé pour la Biennale de Venise, la sculpture cinétique « In 20 Steps » composée de 40 tubes de verre qui bougent pour représenter le mouvement d’un oiseau prenant son envol.
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Un oiseau de verre prend son envol
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L’habitat naturel d’oiseaux sculpté dans des livres
Guy Laramée continue à sculpter les pages de livres pour y créer des paysages, cette dernière série de 9 œuvres intitulée Onde Elles Moran ( Où ils vivent) utilise comme matière première des exemplaires d’occasion de tomes d’une série de classiques de la littérature brésilienne « Classicos Jackson ».
Sur leurs couvertures il a réalisé des dessins d’oiseaux et sculpté dans les pages intérieures de l’autre coté une représentation de leur habitat naturel.
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Des arbres miniatures déracinés en l’air
L’artiste cubain Jorge Mayet crée des mini paysages avec des arbres qui s’accrochent désespérément à des îlots de terre arrachés du sol qui flottent en l’air.
Vous pouvez aller voir l’ensemble de ses oeuvres sur son site.
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Des matérialisations de simulations
L’artiste Eyal Gever crée des modèles pour simuler numériquement en 3D des collisions ou le comportement de fluides et utilise les données pour créer des sculptures imprimées en 3D d’instants particuliers figés.
Il y a sur son site d’autres oeuvres avec des vidéos des simulations.
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Des sculptures de bateaux en perles
L’artiste anglaise Ann Carrington réalise des oeuvres en détournant des objets de leur utilisation classique comme des bouquets de cuillères ou des portraits de la reine d’Angleterre en boutons.
Avec ces sculptures elle utilise des colliers de perles pour fabriquer des galions plein de détails qui semblent prêts à voguer sur les sept mers.
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Les machines steampunk de Burton J. Sears
Burton J. Sears était un enseignant du Savannah College of Art and Design et monteur pour le cinéma, à sa mort en 2014 il a laissé derrière lui 11 machines pour la plupart inopérantes et aux fonctions mystérieuses mais qui possèdent toutes une magnifique allure résolument steampunk.
Il prétendait que les machines avaient été inventées à la fin des années 1800 et avait imaginé pour chacune d’entre elle l’histoire très complète de son inventeur et des circonstances dans lesquelles elles avaient été fabriquées avec des détails réels pour flouter au maximum la limite entre la réalité et la fiction.
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Des détressages de cordes en arbres
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Des sculptures en chewing-gum
Maurizio Savini est installé à Rome et utilise uniquement du chewing-gum blanc et rose ( probablement menthe-eucalyptus et fraise des bois ) pour créer ses sculptures.
ps : non, il ne mâche pas les chewing-gum avant de les utiliser, il a deux assistants qui sont chargés de déballer et préparer les tablettes pour qu’il puisse les utiliser. Quelle déception.
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Des animaux en fines bandes de métal
Basé à Istanbul, l’artiste turc Selçuk Yılmaz crée ces sculptures qui représentent un lion, un renard, un lynx et un tigre en utilisant des fines bandes de métal qu’il courbe et soude en place pour mettre en valeur les formes et la musculature des animaux.
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Des délicates sculptures en feuilles mortes
Malgré leur fragilité, l’artiste Susanna Bauer parvient à découper et coudre des feuilles mortes entre elles pour les assembler et les transformer en cubes, les percer de tunnels et de motifs géométriques.
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Des sculptures géométriques sur des bananes
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Les sculptures automobiles de Gerry Judah au Goodwood Festival of Speed
Le festival de vitesse de Goodwood est une course de côte populaire qui se déroule tous les ans à cette période et qui rassemble de nombreuses voitures de courses modernes et classiques sur une propriété du Sussex au sud du Royaume-Uni.
Chaque année le sculpteur anglais Gerry Judah y expose une sculpture monumentale qui rend hommage à une marque de voiture qui a marquée l’histoire du sport automobile.
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Des sculptures en porcelaine qui ressemblent à des dessins
En créant des sculptures d’objets en porcelaine blanche dont seuls les bords et les angles sont colorés en noir, l’artiste britannique Katharine Morling nous donne l’impression qu’il ne s’agit que de croquis sur une feuille de papier.
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Il a sculpté tout ce qu’il a mangé pendant un an
Après avoir déménagé de Tel Aviv à Amsterdam pour faire des études artistiques Itamar Gilboa a commencé à se poser des questions sur la façon dont ce déménagement avait modifié son alimentation.
Il a donc commencé à noter précisément chaque aliment qu’il ingérait et a continué comme ça à prendre des notes pendant un an. Au cours de cette année il a par exemple mangé 31 pommes, 113 patates, 22 pizzas, 117 bananes, 111L de vin rouge, 196 cookies, 307 canettes de Coca Light, et 25 litres de lait.
Une fois ces statistiques compilées il a réalisé des sculptures blanches à partir de moules des 150 aliments qu’il a le plus consommé, dans la quantité correspondante.
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Les objets géants de Romulo Celdran
Le peintre et sculpteur Romulo Celdran réalise une série de macros pour lesquelles il fabrique des objets courants dont la taille a été multipliée pour attirer le regard sur leurs détails.
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La métamorphose d’objets en papier
Basée à Toronto, l’artiste Cybele Young crée ces séries de sculptures en papeir qui partent d’une reproduction fidèle d’un objet courant pour se métamorphoser grâce à plusieurs itérations en un animal ou une forme organique.
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Des vêtements en vaiselle de porcelaine brisée
L’artiste Chinois Li Xiaofeng utilise des morceaux de vaisselle ancienne en porcelaine qui a été brisée qu’il assemble pour former des vêtements avec des cordes de cuir ou de fil de fer à la manière d’armures.
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Un ange déchu à Beijing
Les artistes chinois Sun Yuan et Peng Yu ont installés à Beijing la semaine dernière « Angel », cette sculpture en fibre de verre et silicone qui représente de manière hyper réaliste un ange au sol emmêlé dans un filet.
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Des ballons ni de baudruche ni remplis d’eau
L’artiste australien Todd Robinson crée des sculptures qui ressemblent à des ballons de baudruches remplis d’eau posés sur différents objets dont ils épousent la forme mais qui sont en réalité des sculptures de plâtre, surement réalisées par moulages, peintes.
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Des mots d’ombres en fils
Le sculpteur belge Fred Eerdekens utilise des fils métalliques pour écrire des mots et des messages sur des murs avec leurs ombres en les tordants dans des formes qui semblent à première vue abstraites.
Il arrive aussi à écrire avec autre chose que du fil :
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