Le sculpteur anglais Jonathan Owen sculpte et creuse de sculptures classiques et transforme leurs membres en maillons enchevêtrés et crée des sphères dans leurs têtes évidées.
Le sculpteur anglais Jonathan Owen sculpte et creuse de sculptures classiques et transforme leurs membres en maillons enchevêtrés et crée des sphères dans leurs têtes évidées.
L’artiste Christopher David White continue à créer des sculptures de céramique qui ont une texture ressemblant parfaitement au bois d’arbres morts et qui représentent des formes humaines torturées.
Depuis la fin des années 60 l’artiste italien Giuseppe Penone réalise des oeuvres dont le thème principal est la mise en contact de la nature et de l’Homme.
Avec ouvres il a sculpté des vieux troncs d’arbres, enlevant progressivement leurs anneaux de croissance tout en gardant leurs noeuds pour révéler à l’intérieur du tronc l’arbre avec ses branches tel qu’il était dans sa jeunesse.
L’artiste colombien Rafael Gómezbarros crée des centaines de fourmis géantes à partir de moules de crânes humains et les place sur des bâtiments publics.
L’artiste tchèque Jakub Geltner crée des installations de caméras de surveillances et d’antennes paraboliques qui sont positionnées en groupe dans l’espace public comme des volées d’oiseaux qui seraient perchés là.
Pour un festival en Allemagne , l’artiste argentin Leandro Erlich a créé cette installation géante qui utilise une grue pour soulever une maison entière en l’air, dévoilant les racines qui l’attachaient au sol.
Snarkitecture a créé pour l’été au National Building Museum de Washington DC une « plage » pour se reposer et un « océan » de 750 000 boules de plastique blanches pour s’amuser dans le hall d’entrée.
Cette installation d’Inés Esnal dans un complexe résidentiel de Brooklyn crée un prisme avec des cordes élastiques colorées tendues contre un mur qui créent des formes géométriques en se croisant.
Le designer japonais Tokujin Yoshioka a créé cette installation « Tornado » de plus de deux millions de pailles de plastique transparentes emmêlées qui forment des passages comme environnement pour une exposition de son travail au Saga Prefectural Art Museum sur l’île de Kyushu où il a grandit.
Les « Healing Tool » sont des installations de Brian Kane qui utilise des panneaux publicitaires lumineux sur le bord d’autoroutes américaines pour afficher dessus des images du paysage masqué par le même panneau.
De jour l’image peut bouger avec un mouvement de parallaxe pour suivre naturellement le point de vue de certains véhicule, de nuit l’image est remplacée par des vues de la lune ou de l’espace.
Situé dans l’ancienne mine de charbon de Winterslag à Genk en Belgique ce labyrinthe de 37,5m de coté créé par les architectes Pieterjan Gijs et Arnout Van Vaerenbergh est composé d’un kilomètre de plaques d’acier de 5 mètres de haut et 5mm d’épaisseur qui forment les murs dans lesquels des volumes de formes géométriques comme une sphère, un cône, un cylindre, sont découpés pour dégager la vue.
Le labyrinthe s’apprécie à la fois en déambulant à l’intérieur dans ses couloirs et en le regardant à la verticale depuis les hauteurs de plateformes situées autour de deux puits de mine situés à coté.
« sea/see/saw » est une installation des artistes Caitlind r.c. Brown et Wayne Garrett construite à partir de 14 000 verres usés de lunettes suspendus en disque sur la façade du Musée de Pera à Istanbul.
L’oeuvre bouge et crée des ondulations au fil du vent qui reflètent le soleil comme le Bosphore juste en dessous.
Baptiste Debombourg a installé jusqu’au 20 août sur la place du Bouffay à Nantes pour Le Voyage à Nantes une oeuvre intitulée Stellar et composée de 1200 chaises de cafés qui s’envolent dans les airs et forment des boucles enchevêtrées à la façon des rails de montagnes russes.
L’artiste allemand Hans-Peter Feldmann a présenté cette année à Basel cette installation intitulée Horizons qui est composée de 33 tableaux dont le point commun est la présence d’une ligne d’horizon qui est conservée sur toute la longueur de l’installation par le placement des tableaux.
L’artiste Cai Guo-Qiang qui travaille régulièrement avec des feux d’artifices a fait s’élever le 15 juin dernier à la tombée de la nuit dans le ciel de Huiyu Island Harbour en Chine un ballon rempli d’hélium auquel était attaché une échelle de cordes mesurant plus de 500m de haut recouverte de mèche rapide, de poudre et de feux d’artifices dorés.
Une fois allumée cette « Sky Ladder » a brûlée pendant approximativement 2min30 durant lesquelles elle semblait s’élancer par magie vers le ciel.
C’était sa quatrième tentative pour réussir cette performance, les dernières à Bath ( 1994, Shangai ( 2001 ) et Los Angeles ( 2012 ) n’étant pas à la hauteur de ses espérances et de la vision qu’il en avait eu depuis son enfance.
La scène a été capturée par les photographes Lin Yi et Wen-You Cai et par les téléphones portables de quelques spectateurs.
Pour un festival italien, le collectif Incipit mené par Edoardo Tresoldi a créé cette sculpture d’un pavillon aux murs de grillage traversé par des oiseaux qui semble se dévoiler qu’en densifiant le paysage derrière lui.
Banksy vient de construire dans le plus grand secret à Weston-super-Mare, une station balnéaire au sud-ouest de l’Angleterre, Dismaland un parc d’attractions qui parodie les Disneyland et qui rassemble les oeuvres de plus de 50 artistes internationaux ainsi que des performances, des projections et des concerts pendant les cinq semaines où il restera ouvert.
Installée en 2011 au sommet d’un terril à Duisbourg à l’ouest de l’Allemagne par les artistes allemands Heike Mutter et Ulrich Genth, Tiger and Turtle – Magic Mountain est une sculpture d’un escalier d’acier galvanisé qui forme des montagnes russes avec une boucle verticale de 20m au milieu.
L’oeuvre est ouverte au public et on peut se promener sur 200 des 220 mètres de l’escalier, ceux ayant essayé de parcourir les derniers vingt mètres ayant eu des problèmes.
ADA, cette installation de Karina Smigla-Bobinski est une sphère transparente de plastique remplie d’hélium qui flotte dans une pièce blanche traditionnelle des musées et galeries et qui est recouverte de 300 bâtonnets de charbon.
Les visiteurs sont invités à se saisir de la sphère et du charbon et à laisser des traces de leur passage sur leurs mains et aux murs en la manipulant et en la faisant flotter dans la direction qu’ils souhaitent.
Charles Petillon ( déjà ici ) vient d’installer un nuage de plus de 100 000 ballons blancs qui s’éclairent de différentes manières dans la galerie de l’ancien marché de Covent Garden à Londres.