Depuis son invention en 1950 plus de 100 milliards de BIC Cristal ont été produits, AAU Anastas en a utilisé 10 000 recyclés et uniquement reliés par des connecteurs en plexiglass pour créer cette structure qui ressemble à un chandelier et qui a été installée à Amsterdam pour une conférence de l’International Association for Shell and Spatial Structures.
International Association for Shell and Spatial Structures
La japonaise Misa Sawairi transforme le monde qui l’entoure en réorganisant des objets abandonnés ou rangés de façon conventionnelle à sa façon.
Chez l’artiste chinois Ji Zhou les cartes servent de matière première pour créer des paysages montagneux escarpés en jouant sur les textures et les couleurs du papier froissé pour les cartes.
Dans le cas des livres c’est la verticalité de leur empilement qui crée des tours qui rappellent des gratte-ciels de grandes métropoles.
Pour le London Design Festival 2015 l’artiste Alex Chinneck spécialisé dans les installations architecturales géantes et surprenantes a installé ce pylône électrique de 35m de haut planté à l’envers en déséquilibre dans le sol comme un javelot.
88888, composé de Karel Burssens et Jeroen Verrecht, ont créé dans les douves du château de Horst en Belgique cette installation qui semble une fois la nuit tombée créer un portail lumineux rectangulaire vers une autre dimension.
L’artiste madrilène Irma Gruenholz ( aussi ici ) crée ces sculptures qui réussissent à ressembler à des illustrations ou des peintures alors qu’elles sont fabriquées en trois dimensions en argile et peintes.
Pour fêter la réouverture d’une galerie du Smithsonian American Art Museum qui vient de passer les deux dernières années à être rénovée, l’artiste Jennifer Angus a installé sur les murs d’une pièce 5000 insectes colorés provenant d’Asie du Sud-Est qui forment des motifs ornementaux qui ressemblent à une tapisserie.
Cette création de l’artiste Derek Hugger est une sculpture cinétique qui reproduit avec plus de 400 rouages et pièces tous les mouvements du vol d’un colibri du bout des ailes à la queue.
Vous pouvez aller voir plus de ses créations sur son site, sur lequel il vend aussi les plans pour réaliser vos propre sculpture pour un prix relativement raisonnable.
L’artiste écossais Graham Muir crée des sculptures de verre qui ressemblent à des vagues figées au moment où elles sont sur le point de se briser.
Le sculpteur brésilien Sergio Camargo étudie l’art à Bueno Aires sous la direction de Pettoruti et Fontana avant de faire plusieurs visites à Paris, où il finira par s’installer, à partir de 1948 pendant lesquelles il rencontre de nombreux artistes qui vont avoir une grande influence sur sa carrière.
A partir des années 60 il crée des bas-reliefs abstraits à partir de sections cylindriques peintes en blanc dont les reliefs ne sont visibles que grâce aux ombres et aux jeux de lumières.
Plus tard il réalisera des sculptures, toujours abstraites, de compositions de formes géométriques dans du marbre blanc de Carrare.
Le sculpteur américain Andrew Hayes utilise les pages de vieux livre comme matière première malléable et la met en forme en l’encastrant entre des lourdes plaques d’acier.
L’artiste Alexandra Kehayoglou qui vit à Buenos-Aires fabrique des tapis dont les poils et les motifs représentent des prairies et des champs plein d’herbes, de mousses et de chemins et montent parfois aux murs pour se transformer en tapisseries.
L’artiste londonienne Justine Smith préserve sous des dômes de verre des sculptures botaniques réalisées uniquement avec le papier de vieux billets de banque provenant des quatre coins du monde.
L’artiste Wilfried Grootens peint sur des dizaines de plaques de verre des strates successives de de motifs abstraits qui font penser à des animaux microscopiques ou des débuts d’explosion figées dans le temps.
Il rassemble ensuite les plaques de verre dans des cubes qui semblent capturer ces formes en 3D comme si elles avaient été coulées dans un bloc solide.
L’artiste plasticienne japonaise Chiharu Shiota ( déjà ici ) réalise des sculptures et des installations dans lesquelles des pièces et des objets sont dévorés par des toiles de fils noirs qui semblent tout envahir.
L’artiste française Pauline Bastard a créé cette série de sculptures représentant des appareils photos à partir d’objets défraîchis et de débris qu’elle a trouvé dans les rues de Bratislava, Londres, Sao Paulo, New York et d’autres grandes villes qu’elle a visité.
Il y en a plus et d’autres projets sur son site.
L’artiste canadien Troy Coulterman sculpte ces personnages qui s’imbriquent et sont enveloppés dans des formes étranges et abstraites pour représenter symboliquement leur état émotionnel.
Installée à Montréal, l’artiste Myriam Dion utilise des journaux dont elle découpe au cutter les pages pour créer une mosaïque de dentelle de papier et de motifs centrés autour qui éliminent le texte et qui sont centrés autour d’une photo qui évoque un événement qui l’a marqué.
L’artiste malaisien Jun Hao Ong qui travaille sur des oeuvres lumineuses à installé cette étoile construite avec 500 mètres de LEDs qui semble traverser les sols de 4 étages de la structure vide d’un bâtiment en béton qui est en cours de construction.
L’installation a ét éréalisée à l’occasion du 2015 Urban Xchange, un festival artistique qui se déroule à Penang en Malaisie.
