Vasco Maourão, dont le pseudonyme est Mister Mourão, est passé progressivement du papier à ces découpes de bois tout en courbes, pour y inscrire son projet Ouroborus.
Il explique que travailler sur du contreplaqué permet de libérer ses oeuvres du cadre. Il souhaite faire en sorte que les limites physiques soient une partie intégrante de l’oeuvre.
Il découpe lui-même le contreplaqué puis le couvre de ces dessins minutieux qui n’ont ni début ni fin. Ils représentent une architecture surréaliste très détaillée dont les perspectives s’adaptent chaque fois à la pièce de bois qui les accueille.